Une surélévation en bois à Cesson-Sévigné (35510)

Les propriétaires refusaient l’idée d’un déménagement. Alors que, l’une des pièces de nuit, localisée à l’étage de la maison, était trop étroite par rapport aux autres chambres.

Deux niveaux composent ce pavillon traditionnel. La maison reprend toutes les caractéristiques architecturales de l’époque, des habitations de la région. Elle détient une toiture à deux pentes, en ardoises. 

A l’étage, une chambre mesurait 8m². Elle se situe côté jardin. La superficie est peu confortable pour accueillir convenablement un lit, un bureau ou encore des rangements. En outre, les versants de la toiture sont prononcés. Cette configuration impacte d’autant plus le bien-être de la chambre.

La solution proposée par Cybel Extension a été de procéder à un agrandissement en bois par le toit. Une lucarne a été ainsi construite. Elle permet d’augmenter la surface de la chambre. De plus, elle vient remplacer le velux. Cette fenêtre deux versants offre une vue verticale sur le jardin et laisse pénétrer les rayons du soleil.  

Les élévations sont en bois. Ce matériau est idéal dans le cadre d’une surélévation, qui n’est pas une opération anodine. Le poids ajouté aux fondations est moindre en comparaison à de la maçonnerie traditionnelle. On retrouve également du bois sur le bardage horizontal, ornant les façades. La teinte du bardage est sable. Ce dernier contraste avec les façades existantes enduites. 

La couverture est en zinc quartz monopente avec une inclinaison de 10%, ainsi que les gouttières et la descente d’eaux pluviales. 

Les menuiseries sont en aluminium monocolore. Des volets roulants accompagnent ces dernières.

L’extension est uniquement visible depuis le jardin. Elle s’insère sur la façade arrière du pavillon et se positionne jusqu’en limite de propriété.

Les propriétaires ont sélectionné notre solution clé-en-main. Des démarches administratives jusqu’à la réception du projet, notre agence s’est occupée de tout !

La maison située à Cesson-Sévigné était soumise à un plan local d’urbanisme intercommunal, l’extension devait respecter plusieurs règles en vigueur.  Sa superficie était de 112,85 m². Compte tenu de la taille de l’agrandissement de 6 m², la maison atteindrait une superficie inférieure à 150 m². Une déclaration préalable de travaux a ainsi été suffisante, sans l’obligation de faire intervenir un architecte.

Une fois les travaux d’agrandissement terminés, la chambre faisait 11 mètres carrés. 

A l’intérieur, les peintures et les sols de la chambre, entière, ont été rafraîchis. Un coin dressing a même été aménagé sur une partie d’un pan de mur.